Dans la chaîne de production d’un ouvrage, la relecture est trop souvent perçue comme une simple vérification finale. En réalité, c’est une étape cruciale qui conditionne la qualité, la cohérence et la crédibilité de toute publication, qu’il s’agisse d’un rapport, d’une étude, d’un magazine ou d’un livre.
1. Pourquoi relire (et corriger) un texte ?
Même les meilleurs auteurs laissent passer des coquilles. La relecture permet de corriger les fautes d’orthographe, de grammaire, de typographie… mais va bien au-delà. Elle sert aussi à :
- vérifier la cohérence des données (entre texte ou notes de lecture et tableaux ou graphiques, entre images et légendes…) ;
- normaliser les notes de bas de page et les références bibliographiques ;
- clarifier certaines formulations pour améliorer la lisibilité ;
- signaler les anglicismes.
Un texte bien relu est plus fluide, plus professionnel, plus crédible.
2. Une méthode rigoureuse, en plusieurs étapes
Chez Transfaire, la relecture suit un processus en plusieurs phases :
- Pré-correction typographique et orthographique : un premier « nettoyage » assisté à l’aide du logiciel ProLexis.
- Relecture approfondie intégrant :
- l’harmonisation de la graphie des termes dans l’ensemble de la publication ;
- la bonne formulation du texte ainsi que le repérage des éventuelles fautes d’orthographe et de grammaire ;
- la cohérence des données entre le texte, les tableaux et les graphiques ;
- la normalisation des notes de bas de page et des références bibliographiques, dans le respect des règles et normes officielles
- le respect de la charte graphique dans l’ensemble de la publication.
- Intégration des corrections directement dans InDesign.
- Propositions de reformulation ou d’harmonisation, annotées sur le fichier PDF pour validation par le client.
- Relecture finale : une dernière vérification après mise en page, avant le bon à tirer.
3. Relecture humaine ou outils automatiques ?
Les logiciels de correction sont utiles, mais ne remplacent pas l’œil humain. Rien ne vaut l’expertise d’un correcteur ou d’une correctrice formé(e), capable de détecter les subtilités de sens, d’ajuster la ponctuation selon les intentions du texte ou de reformuler avec justesse sans trahir le fond.
4. Une garantie de qualité… et de sérénité
Investir dans une relecture professionnelle, c’est limiter les erreurs, renforcer l’image de sérieux de votre structure, et gagner en tranquillité au moment de l’impression ou de la publication.
Conclusion
La relecture est la dernière étape avant la validation d’une publication… mais certainement pas la moins importante. C’est elle qui transforme un bon texte en un texte irréprochable. Chez Transfaire, nous faisons de cette étape un véritable gage de qualité, avec méthode, rigueur et exigence.